C’est en tout cas ce que l’on a pu lire dans ce journal qui n’hésite pas, par la plume de son journaliste, à jeter l’opprobre sur toute une profession.

Nous en tirons plusieurs leçons :

La première : la non réponse de la DRSM à ce pamphlet agressif et qui nous salit.

Nous en déduisons que la direction RH de la CNAM pèse au trébuchet le droit de réponse voire la plainte à déposer face au journal.

Entre mépris de notre profession et indifférence face à cette catégorie de salariés que sont les praticiens conseils à nous de choisir.

Mais attendons de voir ….

Nos collègues, qui en toute éthique et toute déontologie prononcent avec circonspection une suspension des indemnités journalières, méritent nous semble-t-il une réaction un peu musclée…de notre employeur.

Pour ce collègue dont nous ne savons pas s’il se reconnaîtra dans ces allégations nauséabondes mais il est assuré de tout le soutien de la communauté PC SNFOCOS.

La seconde est l’ambiance actuelle des relations entre l’Assurance Maladie et les assurés et les médecins libéraux qui se dégradent considérablement.

Car ici c’est clairement notre légitimité, celle donnée au service médical par l’article L-315-1, qui est mise en cause en toute impunité par ce journaliste.

Ce journaliste s’en prend à des personnels chargés d’une mission de service publique !

Car ne nous y trompons pas ces phrases assassines n’ont rien d’anodin dans le contexte actuel où des assurés s’organisent pour ester en justice.

Le SNFOCOS va saisir le Directeur de la CNAM, ce genre de propos ne pouvant être traité à la légère.

L’article est en lecture ici.

Vos représentants SNFOCOS PC