Malgré les nombreuses alertes réitérées par la FEC et le SNFOCOS et nos tentatives repoussées de dialogue de construction, les caisses nationales, prises dans un temps long, inadapté à l’urgence à agir vite et à agir bien, assument la responsabilité de la détérioration du climat social.

Notre mobilisation pour les causes collectives et communes telles que les retraites ne nous empêchera pas d’être aussi aux cotés des inspecteurs du recouvrement, comme demain tout cadre menacé dans ses intérêts collectifs.

La journée du 8 mars 2023 sera donc un journée charnière dans le conflit reconductible à compter du 7 mars contre « cette » réforme des retraites, celle internationale du droits des femmes, mais aussi l’appel à la grève nationale des inspecteurs du recouvrement dans leur caisse.

Si le DG de l’Urssaf Caisse Nationale a après coup demandé à rencontrer en bilatérale la FEC et le SNFOCOS, il le fera après une première expression des salariés en colère pour avoir refusé un dialogue apaisé et nos propositions de négocier !

Bruno Gasparini, Secrétaire Général du SNFOCOS