Suite à des reportings de plus en plus nombreux, avec un suivi de plus en plus exigeant des TK 12 qui doivent être complétés manuellement, les Inspecteurs du Recouvrement ont une charge de travail de plus en plus importante ce qui nuit aux exigences imposées par les directions, notamment en nombre de contrôles à réaliser.
Actuellement un Inspecteur de Recouvrement passe de plus en plus de temps en reporting, à justifier son activité qu’en contrôle. Est-ce notre métier que de réaliser des tableaux uniquement à des fins statistiques ?
Le temps passé en contrôle est réduit d’autant. En outre, ASSURE et la Supervision sont chronophages.
Automatiquement, les temps de contrôles étant incompressibles, leur nombre diminue. Ceci nuit aux rendements imposés par les directions et impacte de manière négative les statistiques.
Patrick SCHUSTER, Secrétaire de la CPP des ACERC et Emmanuelle LALANDE, Secrétaire Nationale en charge du Recouvrement